Chaque année à cette saison, la Commune met à l’enquête l’abattage d’arbres qui sont soit malades, soit une gêne pour leur entourage direct. Très peu d’arbres majeurs sont cette fois concernés. Au Parc de l’Indépendance, un grand érable de Cappadoce, partiellement sec et attaqué par des champignons, devra être abattu, mais un arbre de même espèce sera replanté. Au total, une vingtaine d’arbres vont disparaître et presque tous remplacés.
Mais la Commune ne fait pas qu’abattre: au nord du Centre de vie enfantine à la Gracieuse, les apprentis du Service des Espaces publics ont planté un verger, soit plus d’une trentaine d’arbres fruitiers: pommiers, poiriers, cerisiers abricotiers, prunier et pêchers. C’est à souligner, parce qu’aujourd’hui, les arbres fruitiers hautes tiges ont tendance à disparaître au profit d’une arboriculture intensive, au rendement élevé, où les arbres n’ont qu’une durée de vie limitée.